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vendredi 31 décembre 2010

Essai du nouveau Hyundai Tucson (IX35) 2.0 CRDI 177 ch 4X2 : Confortable et silencieux, il offre un bon comportement...

Après avoir annoncé en exclusivité sur autoalgerie.com le tarif du nouveau Hyundai Tucson, baptisé ix35 dans les autres marchés, Hyundai Motor Algérie, vient de lancer officiellement la commercialisation de son nouveau SUV compact. Avec le New Tucson, HMA va se repositionner sur le segment des SUV et misera beaucoup sur le nouveau Tucson pour augmenter ses parts de marché dans un segment en évolution.

Baptisé ix35 à l’international, le nouveau SUV sud-coréen gardera toutefois sa dénomination actuelle à savoir "Tucson" dommage ! avec l’adjectif "New" pour le distinguer de son prédécesseur avec lequel il cohabitera le temps d’épuiser les quelques unités restantes de l’ancienne version. Une dénomination spécifique pour certains marchés dont le notre « pour garder l’esprit Tucson ; un nom bien connu et aimé des Algériens » explique Mme Moubri, responsable marketing et communication chez Hyundai Motor Algérie.

Bref, élégant et spacieux, le nouveau Tucson adopte un nouveau design qui rompt totalement avec son prédécesseur en affichant une allure sportive et athlétique. Conçu et développé dans le centre de R&D de Hyundai à Rüsselsheim (en Allemagne), le nouveau Tucson (ix35) adopte le nouveau langage stylistique de la marque baptisé « fluidic sculpture » - sculpture fluide - et se dote de nouvelles lignes aérodynamiques, issu du concept ix-onic 2009, présenté d’ailleurs au grand public d’Alger lors du 13e salon international de l’automobile d’Alger.

Plus long de 85 mm (4,41 m), plus large de 20 mm et plus bas de 20 mm que le Tucson, le nouveau bénéficie d’un empattement de 2640 mm, soit 10 mm de plus que son prédécesseur.

Le nouveau Hyundai s’affranchit ainsi du design bicorps et opte pour une nouvelle silhouette plus aérodynamique, donnant naissance à un crossover de taille moyenne à l’allure résolument sportive. A l’intérieur, le design se veut plus dynamique avec des formes lissées mais entend conserver un haut niveau de commodité tout en garantissant une utilisation efficace de l’espace. Globalement, le design présage des futurs modèles de la gamme Hyundai et concrétise le nouveau langage stylistique de la marque.

Dans l’habitacle, la console centrale confère une impression dynamique exclusive tandis que la finition noire et quelques inserts métallisés sur la console centrale, la planche de bord et le volant sont appelés à devenir la signature de la marque Hyundai. Les instruments et les cadrans bénéficient par ailleurs du célèbre rétroéclairage bleu de Hyundai équipant tous les modèles de la gamme.

La console centrale en forme de « X » intègre les ouïes de ventilation tandis que les commandes audio, de chauffage, de ventilation et des accessoires y sont également implantées. Selon la version, le nouveau Hyundai est proposé avec une climatisation manuelle et une climatisation automatique double zone.

Le système audio de l’ix35 comprend un autoradio RDS et un lecteur CD, quatre haut-parleurs, deux tweeters et des prises de connexion MP3, USB et iPod.

L’habitacle spacieux a permis aux ingénieurs Hyundai d’augmenter l’amplitude des réglages du siège conducteur qui, comparé à celui du Tucson, bénéficie d’une plage de coulissement accrue de 40 mm ainsi que d’une plage de réglage en hauteur également supérieure. Les conducteurs mesurant jusqu’à 1,92 mètre devraient ainsi pouvoir trouver une position de conduite très confortable à bord du nouveau Tucson. Une conduite beaucoup plus silencieuse

Le confort de conduite est également renforcé grâce à l’adoption d’une pédale d’accélérateur articulée au plancher permettant au conducteur de moduler en douceur et avec précision sa force d’appui sur cette dernière. A l’avant, la hauteur sous pavillon s’élève à 1000 mm, la longueur aux jambes à 1047 mm et la largeur aux épaules à 1450 mm, des chiffres qui s’établissent respectivement à 994 mm, 982 mm et 1400 mm à l’arrière. Les portes arrière à grand rayon d’ouverture garantissent un accès facile à l’arrière de l’habitacle.

La banquette arrière est fractionnable 60/40, si bien qu’elle offre une modularité optimale pour le transport de passagers et de chargement. Les dossiers des sièges se rabattent très simplement sur les coussins, dégageant ainsi une aire de chargement encore plus généreuse avec un plancher quasiment plat. Le coffre à bagages gagne en effet 67 mm en profondeur avec les sièges arrière en place. De plus, grâce à l’architecture plus compacte de la suspension arrière multibras, l’espace occupé par les passages de roue arrière dans l’aire de chargement a été réduit, ce qui a permis d’élargir le plancher de cette dernière de 110 mm. Le volume de chargement varie de 591 litres avec les sièges en place à 1436 litres lorsque ces derniers sont rabattus.

Sous le capot, Hyundai Moor Algérie propose deux motorisations 2.0 ess de 166 ch à à 6200 tr/mn 4X2 de et le 2.0 TCI (CRDI) de 177 ch à 4 000 tr/mn 4X4 et 4X2 accouplé à des boîtes à vitesses manuelles à 6 rapports. C’est celui-ci qui nous a été confié lors des essais de lancement effectués par HMA en ce début de semaine sur parcours de près de 150 km, entre Alger et Tipasa. HMA propose, par ailleurs, sur catalogue le 2.0 CRDi 4X4 en boite automatique, en option, sur le haut de gamme ; une version pas encore disponible sur le marché.

Les premières impressions sont frappantes grâce à son comportement routier, mais surtout à son silence dans l’habitacle ; un nouveau bloc diesel beaucoup plus silencieux. Sa caisse de conception inédite et l’utilisation renforcée d’acier haute résistance et de nombreux éléments rapportés ont permis de donner naissance à un véhicule à la fois plus sûr et plus rigide qui génère et transmet beaucoup moins de vibrations, que celles-ci soient produites par ses composants mécaniques ou par la surface de la route.

Une attention particulière a été accordée à certains éléments de la caisse, tels que les supports supérieurs des éléments MacPherson avant, les supports avant du bras tiré arrière, les montants A ou les passages de roue arrière qui ont été renforcés afin de réduire la pénétration des bruits de la route dans l’habitacle. Des matériaux d’insonorisation plus modernes ont été utilisés sur ce nouveau modèle qui reçoit un dispositif d’isolation du capot moteur de densité accrue, un double tablier de planche de bord, de nouveaux panneaux d’isolation au niveau des parois latérales du coffre et des passages de roue arrière ainsi que des montants A et B garnis de mousse. Les ingénieurs sont ainsi parvenus à abaisser le niveau des « bruits de résonance » à 52 dB (‑5,5 % par rapport au Tucson) ainsi que les bruits d’écoulement d’air (à 110 km/h) à 63,9 dB.

Sur la route, le nouveau Tucson offre un bon comportement routier ; un comportement assez flatteur avec un confort d’une berline. Les reprises se font sans souci. Malheureusement, HMA ne nous pas proposé une version 4X4 pour pouvoir tester les aptitudes tout-terrains de ce nouveau SUV, qui, en version deux roues motrices, n’a rien de baroudeur, notamment avec la protection sous-moteur en plastique. Toutefois, le nouveau Tucson s’est montré bien adapté pour affronter les routes défoncées de Sidi Rached et de la Cornes d’Or dans la wilaya de Tipasa.

En revanche, impossible de savoir les réelles performances en termes de vitesse à cause des radars qui fleuris sur le parcours....

Le nouveau Tucson est ainsi proposé en quatre versions : Pack Style sur le 2.0 ess, Pack Style sur 2.0 TCI 4X2, Pack Prestige 2.0 TCI 4X2, Pack Extreme 2.0 TCI 4X4.

De série, la version Pack Style : 2.0 ess offre la direction assistée, ABS, climatisation, double airbag, lecteur CD MP3 avec USB+AUX, montre digitale, verrouillage centralisé, volant réglable en hauteur, lève-vitres électriques avant-arrière, garde boue, rétroviseurs extérieurs électrique, antibrouillards, vitres tintées, crochet de tractage, becquet arrière, ordinateur de bord, jantes en acier 16".

La version Pack Style sur 2.0 TCI en 4X2 offre en plus des rétroviseurs ton caisse + répétiteur clignotant, vitre fumée à l’arrière.

Sur la finition Pack Prestige 2.0 TCI en 4x4 , on retrouve les équipements de la version Style en plus des jantes alliage léger de 17", barre de toit, télécommande audio au volant.

Sur la finition Pack Extrême 2.0 TCI en 4x4 , on retrouve des équipements supplémentaires dont jantes alliage léger de 18", barre de toit, télécommande audio au volant. des airbags latéraux et rideaux, toit ouvrant, filet arrière de stabilisation de bagage, démarrage sans clé.

En sommes, le nouveau Tucson se pare de nouveau arguments pour faire face à la concurrence de plus en plus rude sur le segment. Il offre un comportement agréable assorti d’une très bonne insonorisation et d’un style moderne et agréable. On regrette toutefois l’absence d’une clé avec télécommande à distance ; ce qui pourrait porter un préjudice à son image...

Tarifs :

- 2.0 Ess 4X2 Pack Style :

1 898 000 DA TTC, taxe VN comprise, 1 460 000 DA ANDI, 1 432 000 DA ANSEL, 1 370 000 DA licence

- 2.0 TCI 4X2 Pack Style :

2 078 500 DA TTC, taxe VN comprise, 1 586 000 DA ANDI, 1 656 000 DA ANSEL, 1 496 500 DA licence

- 2.0 TCI 4X2 Pack Prestige :

2 275 000 DA TTC, taxe VN comprise, 1 740 000 DA ANDI, 1 816 000 DA ANSEL, 1 650 000 DA licence

- 2.0 TCI 4X4 Pack Extrême BVM :

2 776 500 DA TTC, taxe VN comprise, 2 109 000 DA ANDI, 2 202 000 DA ANSEL, 2 019 000 DA licence

PDF - 1 Mo

fiche technique & équipements Hyundai Tucson (ix35)

Portfolio

La future Kia Picanto dévoilée à travers deux esquisses officielles Kia Motors : La future Kia Picanto dévoilée à traver

La Kia Picanto prépare sa mue. En attendant son apparition publique prévue en Mars à Genève, la citadine venue du Pays du Matin Calme se montre sous sa future robe, dans deux "sketchs" officiels !

Le buzz est lancé ! Le compte à rebours pour le remplacement de l’actuelle Picanto a bel et bien débuté, puisque c’est le constructeur lui-même qui dévoile sa première esquisse sous forme de croquis.

Deux croquis ont été ainsi lâchés dans la nature et laissent entrevoir une ligne très dynamique inspiré du Venga. La citadine adoptera donc les clés stylistiques que l’on retrouve sur le reste des véhicules renouvelés de la gamme, que sont la forme des optiques et de la calandre ainsi que la musculature de la carrosserie.

L’on entend ici et là qu’elle existera en deux versions, puisque une version trois portes pourrait venir épauler la version cinq portes existante.

L’on parle aussi de deux motorisations, 1.0 de 69ch et un 1.2 de 78ch.

Automobile, Reprendre le contrôle du marché algérien

Automobile, Reprendre le contrôle du marché algérien

Automobile, Reprendre le contrôle du marché algérien

Renault en Algérie ? Les palabres continuent pendant que les finances du pays subissent une véritable hémorragie.

Abdelhamid Temmar a fait des émules. Les multiples promesses de l'ancien ministre de l'Industrie, annonçant le lancement imminent de grands projets dans l'industrie automobile, sont reprises par des successeurs qui semblent tout aussi inconsistants.

De déclaration hasardeuse en sortie médiatique approximative, les responsables du secteur sont en train de discréditer le nouveau projet, en cours de négociation, entre Renault et des parties algériennes difficiles à identifier, alors que les importations algériennes dans ce domaine atteignent un seuil alarmant.

Tel qu'il se présente, le projet en cours de discussion a peu de chances d'aboutir. Non parce qu'il ne serait pas viable ni parce qu'il serait inopportun, mais parce que la démarche engagée est peu convaincante, tant elle accumule incohérences, effets d'annonce mal gérés et absence de visibilité.

Selon le ministre de l'Industrie, de la PME et de la Promotion de l'investissement, Mohamed Benmeradi, dont les propos sont rapportés par la presse, le projet bute sur des exigences inacceptables de Renault.

Le constructeur automobile français réclamerait en effet une meilleure protection du marché algérien, avec des restrictions à l'importation, ainsi qu'une participation algérienne à l'investissement, alors que Renault devrait s'occuper tout seul du volet commercial. En parallèle, Renault exigerait une reprise du crédit automobile, qui a permis une explosion du marché algérien durant les dernières années. Qu'exige l'Algérie en contrepartie ?

Que le projet ne se limite pas à une unité d'assemblage mais constitue une véritable usine de fabrication de véhicules, avec un taux d'intégration conséquent et une participation de la sous-traitance algérienne ; il faudrait en outre que Renault s'engage financièrement et « ne se contente pas d'apporter son label», selon la formule de M. Benmeradi.

Ainsi engagée, la discussion va rapidement se transformer en un dialogue de sourds. D'une part, Renault ne peut demander une protection du marché algérien ni une révision de la politique du crédit, car ceci relève de choix politiques du pays, aussi mauvais soient-ils. Si le constructeur français a vraiment présenté ces requêtes, cela signifie que le projet ne l'intéresse pas.

C'est une page qu'il vaudrait mieux tourner tout de suite. Mais le plus inquiétant réside dans l'approche algérienne du projet. D'abord parce qu'on ne sait pas qui va décider. Est-ce le chef de l'Etat ? Le chef du gouvernement ? le ministre ? ou la SNVI qui sera le partenaire éventuel de Renault ? Ensuite, parce qu'on ne sait même plus pourquoi on veut lancer ce projet. La partie algérienne semble attendre les propositions de Renault pour les contrer, les amender ou les accepter.

C'est une démarche qui mène droit à l'échec car, même si le projet est engagé, il sera ingérable pour la partie algérienne, dont l'administration est, de toute façon, incapable d'accompagner un projet d'une telle envergure. A l'inverse, il suffirait de fixer quelques objectifs précis pour définir les contours d'un projet économiquement viable, socialement utile, financièrement supportable et facile à intégrer dans une démarche économique cohérente.

En utilisant au mieux les arguments dont dispose l'Algérie. Et ils sont nombreux. Pour l'heure, l'Algérie a totalement cédé son marché interne aux constructeurs étrangers, sans aucune contrepartie. Une usine en Algérie, qui pourrait satisfaire le quart ou le tiers du marché algérien, serait la bienvenue.

Elle pourrait au moins servir de moyen de pression sur les concessionnaires, en leur imposant un certain nombre de contraintes. L'Algérie est-elle prête à payer pour reconquérir son marché ? Et combien ? La création d'emplois, le transfert de savoir-faire et la maîtrise de la gestion viendraient compléter ce tableau.

A charge ensuite pour les autorités algériennes de créer les conditions nécessaires pour qu'une véritable politique de sous-traitance émerge en Algérie. Si le projet est engagé sous cet angle, le volet financement devient secondaire. L'Algérie dispose de ressources financières dont elle ne sait que faire. Autant les utiliser pour réduire la facture des importations automobiles, qui atteint les trois milliards de dollars par an.

Selon les projections les plus fiables, ce marché devrait atteindre cinq milliards de dollars avant 2015. Tout gouvernement sérieux se doit de s'inquiéter et de faire en sorte qu'au moins la moitié de cette demande soit satisfaite par la production locale, ce qui aura des effets immenses sur le tissu industriel du pays.

Ces seuls aspects devraient inciter à une prise de risque maximale. A moins qu'on ne veuille maintenir une dépendance totale du marché algérien envers les importations. Ou, ce qui est plus probable, que l'administration algérienne soit incapable de concevoir, de piloter et d'exploiter le projet.

5 étoiles pour le mini cooper country man

Le MINI Countryman a décroché la note maximale de 5 étoiles au tout dernier crash-test de l’Euro NCAP . Lors de l’évaluation de cet organisme de renommée internationale – dont la notation a été modifiée en 2009 afin de prendre en compte davantage de critères –, le MINI Countryman s’en est sorti avec les honneurs grâce à ses nombreux équipements de sécurité proposés de série et conçus pour garantir une protection maximale aux occupants enfants et adultes dans une grande variété de chocs.

Il s’est illustré non seulement par ses niveaux élevés de sécurité active et passive visant à réduire le risque de blessures à l’intérieur du véhicule, mais également par ses mesures d’optimisation de la protection des piétons. Ainsi, au test de choc frontal réalisé à une vitesse de 64 km/h, l’intégrité de l’habitacle du MINI Countryman a été parfaitement préservée. Le risque de blessures des passagers, quelles que soient leur taille et leur position d’assise, a été jugé faible. Le MINI Countryman a obtenu le maximum de points dans la catégorie de protection des occupants en cas de choc latéral et présente un risque limité de « coup du lapin » en choc arrière. Il s’est également distingué pour ce qui est des sièges destinés aux enfants de 3 ans et de 18 mois en démontrant la stabilité de leur position et des mouvements minimes de leur tête lors de collisions frontales et latérales. Les excellents résultats du MINI Countryman en termes de protection des occupants sont le fruit de l’approche holistique de la sécurité adoptée par la marque sur tous ses modèles. Les robustes structures à voies de transmission d’efforts et les zones de déformation clairement définies assurent l’absorption et la dérivation de l’énergie d’impact lors des collisions. Dans le plancher, les longerons, le tablier et l’avant/arrière du véhicule, ces structures se coordonnent pour diffuser l’énergie d’impact à un maximum d’éléments de carrosserie et ainsi l’éloigner de l’habitacle.
Pour la protection des passagers, le MINI Countryman est doté d’airbags frontaux et latéraux, d’airbags rideaux couvrant les deux rangées de sièges, de ceintures de sécurité 3 points à enrouleur à toutes les places et de fixations ISOFIX pour sièges enfant à l’arrière. Les sièges avant disposent, en outre, de prétensionneurs et de limiteurs d’effort de sangles, et la colonne de direction de sécurité intègre un élément de déformation asservi à la charge. La structure, les dispositifs de retenue et l’électronique sécuritaire fonctionnent en totale harmonie afin de limiter les conséquences du moindre choc.

Par ailleurs, le MINI Countryman recèle des technologies contribuant à sa sécurité active, telles que le contrôle dynamique de la stabilité ( DSC ), proposé de série. Ce système se compose de l’antiblocage des freins( ABS ), de la répartition électronique de la force de freinage ( EBD ), du contrôle du freinage en courbe ( CBC ) et d’assistance au freinage et au démarrage en côte. Le MINI Countryman est également équipé d’usine d’un indicateur de dégonflage qui avertit le conducteur de tout endommagement d’un

Toyota Algérie : Remise de 400 000 DA sur le FJ Cruiser

Il n’est pas des habitudes de Toyota Algérie d’accorder des remises sur ses produits, comme la maison-mère d’ailleurs, exception faite pour le FJ Cruiser qui bénéficie d’une remise exceptionnelle de 400 000 DA...

Initialement affiché à 5 000 000 DA, ce 4x4 néo-rétro de la marque nippone, est animé par V6 ess VVT-i de 4.0 litres développant 240 ch (176 Kw) à 5 200 tr/mn et un couple de 376 Nm à 3 800 tr/mn et une puissance fiscale de 24 ch. Il est couplé à une boite à vitesse automatique à 5 rapports. Celle-ci transmet le couple via une boite de transfert à deux rapports.

Présenté lors du salon international de l’automobile d’Alger en mars 2008, le Toyota FJ Cruiser - conçu pour le marché américain faut-il le préciser - se distingue par l’ouverture de ses portières arrière en opposé, des portières "suicides" et son équipement très riche. Pour accéder aux places arrière, il faut toutefois ouvrir les portes avant.

Tarif hors remise du Toyota FJ Cruiser

5 000 000 DA TTC

4 273 504 DA HT

3 480 000 DA APSI, ANSEJ, ANDI, CNAC

2 770 000 DA HT&HDD

200 000 DA taxe VN

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